J’y croyais pourtant a ces mots, ces promesses que nous nous faisions, enlaces sur la plage de l‘ile

J’y croyais pourtant a ces mots, ces promesses que nous nous faisions, enlaces sur la plage de l‘ile

Demain, je partirai et je garderai en moi votre souvenir brulant qui ne peut s‘eteindre que quand nous nous reverrons. Le moteur de l‘avion tournait bruyamment et les escaliers se remplissaient des passagers impatients de s‘y installer.

Le regard de mon compagnon luisaient de tristesse alors que les miens pleuraient a enormes gouttes. Tu seras bientot chez toi et je t‘ecrirai constamment, cent fois avec jour, me rassura-t-il. Je l’embrassai une derniere fois, aussi que l‘hotesse menacait de fermer la porte si je ne me decidais gui?re a monter.

L‘avion decolla et je vis sur le tarmac le corps de l‘homme reduire peu a peu, dans une immobilite de statue. Je pleurais a present sans reserve et mon voisin me tendit un mouchoir en papier. Ne vous inquietez nullement, me dit il, votre mari s‘en sortira sans vous. Faire mes larmes cesserent immediatement .

– « Ce n‘est nullement Mathieu, nous nous sommes connus concernant la plage et depuis dix semaines, on ne s’est gui?re quitte. Cela reside en Norvege et moi en Belgique. C‘est ardu. » -« Tiens, moi aussi, j‘habite en Belgique. Quelle coincidence. Dans quelle part? » Et nous voila causant pendant des heures de notre pays, du combat des wallons et des flamands, de la politique ainsi que l‘union europeenne.

A l‘escale, sans penser un commentaire, nous decidames de rester attendre ensemble notre correspondance.

Nous ne cessions de parler. Puis, comparant nos places, elles furent echangees Afin de continuer le voyage ensemble. Il montra des images sur son portable et je lui donnai mon numero de telephone pour qu‘il me les envoie. Les quatre heures d’attente passerent sans que nous nous en rendions compte. Enfin, il etait temps d‘embarquer. D‘autorite, il porta les deux valises et m‘aida a m‘installer au gros porteur qui nous ramenait a Bruxelles.

Je m‘endormis de facon tres inconfortable et sentis dans mon demi-sommeil, qu’il mettait votre coussin sous la tronche . Je grognais de plaisir sans vouloir me reveiller.

Je dors si profondement que je rate le repas. Mais il a foutu des reserves de cote qu‘il me tend sans sourire des mon reveil . Tout en mangeant, je l‘observe du coin de l‘oeil. Je le regarde vraiment pour la premiere fois. Depuis plus de dix heures que nous nous sommes rencontres, il est surtout une voix. La, je decouvre un visage. Cela visage aux traits secs et durs me deplait. Il m’irrite, parce que J’ai voix me remplit de calme, mais le visage ne montre aucune sentiments. Il se marche par moi pour demander si j‘ai eu assez et si je desire un cafe. A mon acquiescement, il se leve et va chercher du cafe Afin de nous 2.

Soudain, je repense a l‘homme Afin de lequel je pleurais on voit plusieurs heures tout juste. Celui qui me faisait tant de promesses. Celui qui passait des heures a repeter qu‘il m‘aimait; et auquel je semblais vouer un amour incommensurable. J‘avais completement oublie de l‘appeler durant l‘escale. Il est, a mon grand etonnement, sorti ma tete, depuis l’instant ou j‘avais commence a parler a mon voisin. Ce coloc’ a toutes les traits durs qui souriait minimum, le contraire du genre d‘homme que j‘appreciais. Etais-je si volage? Je commencais a douter de moi. Non pas que je puisse imaginer une seconde de revoir mon voisin…quoique..Non. Pas le genre.

Notre voyage se termina rapidement. Il gardait le regard ouverts, attentif a chat avenue arnaque mes moindres mouvements, precedant faire mes souhaits. A l’arrivee, il attendit patiemment que les deux valises arrivent, les porta jusqu‘a J’ai sortie, et me mit dans un taxi. Appelez-moi a votre arrivee exigea-t-il d‘une voix douce. Sans me laisser repondre, il ferma la porte et se dirigea vers le parking.

rce qu’il craignait la dependance; il craignait l’attachement; il craignait la souffrance d’une perdre apres l’avoir connue. Il allait se noyer dans ces corps multiples, multiples. Cela ne choisissait pas vraiment ces dames. Beau garcon, il se mettait au bar et prenait la premiere qui venait. Toutes couleurs et l’ensemble de formes. Il la ramenait dans sa garconniere et lui faisait l’amour toute la nuit, avec rage et suffisamment de douceur pour qu’elle soit exaltee. Sa maitrise d’une jouissance feminine est telle qu’il jouait avec votre corps comme d’un ballon, le faisant grimper au ciel, le maintenant en haleine avant de l’etriper d’la petite fond. Et de mourir lui aussi quelque peu a chaque fois. Au matin, il la mettait gentiment dehors, sans jamais demander le 06, sans jamais promettre d’une revoir. Cela se levait et prenait une douche glacee, epuise et malheureux, forcement, de ne pas ressentir votre qu’il savait qu’il ressentirait avec i§a.

Elle est la. Belle devant lui. Un sourire doux sur la figure. C’est votre douceur qui l’avait attire au premier jour. Une douceur du regard, ainsi, une generosite que l’on sent dans chacun des gestes. Cela frissonne. Et se sent faible face a votre cousine frele, bien plus petite que lui. Cela s’attend a des reproches. Cela prepare son argumentaire: il aurait voulu lui ecrire, mais.. Elle cause avant lui. – j’habite desolee, je n’aurais nullement du te quitter par email. J’aurais du t’expliquer, te parler de lui.

Alors juste, il apercoit derriere i§a un homme, pas tres excellent, qui se rapproche d’eux, lentement.

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